La consommation moyenne nationale de Gigas d’accès internet mobile est de 15 Gigas/mois (ARCEP), or 90% des abonnements sont pourvus soit de moins de 100 Mégas/mois, soit de plus de 30 Gigas/mois. Le choix qui s’impose à chacun chaque mois est donc soit de gaspiller ses Gigas, soit de dépasser son forfait.

L'innovation de #dotdot repose sur un mécanisme simple et efficace, inspiré du « café suspendu » disponible dans la plupart des cafés parisiens : permettre à ceux qui, d’ordinaire, gaspillent leurs Gigas de les partager, de façon anonyme et monétisable. Ces derniers sont appelés les #doteurs. Les personnes qui consomment ces Gigas partagés, contre paiement, sont appelées les #dotés.

Nos boîtiers « #dot’s » sont des répéteurs WiFi de poche : appairé au smartphone d’un #doteur, le #dot permet de vendre, de façon anonyme, ses Gigas inutilisés environ 100 mètres autour de soi. Si le #doteur le souhaite, il peut définir qu’une partie, voire la totalité, de ce partage se fait gratuitement.

L’essor des pratiques de partage (Airbnb, Vinted, GetAround, Spliiit) révèle une demande sociétale forte en faveur du partage de ressources pour consommer au plus juste. Ceci est particulièrement flagrant chez les 18-25 ans qui préfèrent payer uniquement ce qu’ils consomment. Partager des Gigas s’inscrit naturellement dans cette dynamique. Par ailleurs #dotdot favorise une consommation responsable et frugale des Gigas, en incitant à ne pas gaspiller les ressources numériques disponibles. Cette approche permet de réduire la surconsommation des données, tout en offrant un accès solidaire à Internet en contribuant à la protection de la planète.

Tout utilisateur disposant d’un #dot peut offrir, grâce à l’application #dotdot, des gigas de connexion à ceux qui en ont besoin. Rien de plus simple : il suffit de sélectionner la quantité à offrir depuis son espace personnel, et le tour est joué ! Le réseau communautaire des #dot permettra à toute personne en recherche de gigas d’être connectée à proximité d’un utilisateur prêt à partager.

Côté #doteurs, le partage rime avec complément de revenus

Mieux encore, il est possible pour les #doteurs de monétiser leur connexion. Ceux qui décident de partager leurs gigas peuvent choisir soit de les offrir, soit de les revendre au prix de un Euro le Giga (soit moins que le prix moyen effectif, voisin de 2€/Go). Ce système s’apparente à un partage d’abonnement tel qu’il en existe dans d’autres industries. Et c’est un modèle gagnant-gagnant pour tous. Au-delà de l’entraide, le partage de gigas devient aussi un levier de pouvoir d’achat. En réponse à la hausse des dépenses contraintes (loyers, abonnements, assurances…), de nombreux foyers recherchent des solutions pour réduire leurs frais fixes. En échangeant leurs gigas inutilisés, ils peuvent générer un revenu complémentaire de 40 à 60€ par mois.

Selon une étude interne réalisée par #dotdot auprès d’un panel de 1000 personnes représentatif de la population Française (http://e-survey.io), 89% des personnes interrogées se disent prêtes à envisager cette solution. Un complément de revenus d’environ 40€ par mois suscite de l’intérêt dans une période économique tendue où 60% de la population n’est pas en mesure d’épargner une fois payées ses dépenses contraintes (Source).

Côté #dotés, le partage rime avec le premier accès internet mobile à la demande, sans abonnement

Plus d’abonnement, source de gaspillage de Gigas, on peut ajuster sa dépense pour accéder à internet exactement à son usage. Ce qui importe n’est plus le prix au Giga, mais l’impact net sur le budget au final.

Pour une personne consultant Doctolib, son compte bancaire et percevant des aides sociales, la consommation avoisinera peut-être les 1 Giga par mois ? Avec le plus petit abonnement disponible aujourd’hui, impossible de descendre en-dessous de 4€/mois, là où l’impact budgétaire ne sera que de 1€/mois via les réseaux #dotdot !

#dotdot cherche à se déployer autour de zones de partage, dans des lieux pour le moment épars.

Des applications variées, des possibilités infinies

• Dans les édifices publics (mairies, écoles, postes, commissariats…) : en connectant un #dot à un smartphone, ces lieux deviennent des points de relais de connexion gratuits pour les citoyens. Les édifices publics (commissariat, école, et postes). Avec un Internet sécurisé public, les visiteurs et les riverains peuvent bénéficier d’une connexion gratuite afin de réaliser leurs démarches administratives.
• Dans les lieux d’accueil du public (cafés, restaurants) : un client peut partager sa connexion de manière gratuite ou rémunérée avec d’autres clients présents sur place.
• Aux arrêts de bus : en ville ou à la campagne, un simple utilisateur équipé d’un #dot permet à d’autres personnes présentes à l’arrêt de consulter leur itinéraire ou d’accéder à des services essentiels. Celui qui partage ses gigas de cette manière choisit d’être rémunéré par celui qui les utilise ou de les offrir gracieusement.

Une technologie 100% sécurisée et protégée

Fini le partage de mot de passe ! Avec le #dot, la connexion est anonyme et ultra-sécurisée. Ce petit boîtier joue le rôle de répéteur WiFi et permet d’éviter toute intrusion ou tentative de hacking. Vous conservez votre confidentialité tout en offrant la possibilité à d’autres d’être connectés. Une sécurité bien supérieure à celle des WiFi publics ou du partage de connexion du smartphone !

Avec #dotdot, partager ses gigas, c’est plus qu’un simple geste de générosité : c’est permettre à des milliers de personnes de rester connectées à leurs proches, d’effectuer des démarches administratives, ou simplement de se sentir inclus.